Je m’appelle Céline, j’ai bientôt 46 ans, j’ai travaillé dans le paramédical une quinzaine d’années dans différentes institutions. Il y a 5 ans environ, j’ai préféré, dans un souci de bienveillance, m’orienter dans la prise en charge à domicile.
Quand j’ai eu mon premier entretien avec l’agence Petits-fils, je sortais presque d’un burn out avec mon ancien employeur. On a longuement discuté de ce que je voulais faire. J’ai expliqué comment je voyais le poste c’est-à-dire avoir le temps de prendre en charge les personnes que l’on accompagne et s’en occuper avec bienveillance. Lors de ma précédente expérience, j’étais dans un engrenage de rendement, de planning, de manque de personnel. Je me suis vite retrouvée dépassée et épuisée. Aujourd’hui, je me sens privilégiée, j’ai la chance de travailler avec une agence de Petits-fils très encourageante, reconnaissante et à l’écoute.
Depuis que je suis chez Petits-fils, je ne ressens aucune contrainte ! Je crois que j’ai trouvé un parfait équilibre. Je développe à côté une autre activité professionnelle et, pendant ma formation, j’ai même été épaulée par mon agence Petits-fils. Nous nous sommes organisés pour construire mon planning de manière à ce que je puisse gérer mes deux activités à la fois.
Pour réussir à trouver cet équilibre, je pense qu’il faut d’abord bien réfléchir à la place que l’on souhaite donner à sa vie personnelle et ensuite ne pas hésiter à en parler avec son agence. Le fonctionnement de Petits-fils est idéal pour trouver cet équilibre. On sait dès le début, lorsque l’on signe notre contrat avec notre particulier employeur, les jours et les horaires que l’on va suivre. On peut donc s’organiser plus facilement.
Dans certaines entreprises il y a un gros turn over, ça tourne sans arrêt et la vie professionnelle prend beaucoup d’ampleur sur la vie personnelle. À l’époque du Covid, j’enchaînais des nuits, je ne rentrais pas chez moi et ne voyais pas mon fils, c’était un engrenage infernal ! Avec Petits-fils on a un suivi de vie. Il y a des personnes que je suis depuis plus de 3 ans maintenant. Les enfants savent que s’il y a un pépin, je suis là. Et moi je sais aussi que si je rencontre une situation difficile, je ne suis pas seule. C’est important pour le moral de se sentir épaulée. Je retiens que du positif de cette expérience !