Audrey, auxiliaire de vie à Dijon

Audrey, auxiliaire de vie à Dijon
On nous donne le temps de faire ce qu’on a à faire !
double cercle rose

Audrey a 45 ans et après avoir travaillé en tant qu’aide-soignante, elle a commencé à travailler avec Petits-fils il y a un an et demi. Consciencieuse dans son travail, engagée et discrète, elle prend soin des personnes âgées qu’elle accompagne en plaçant l’humain au cœur de son métier.

Mettre l’humain au cœur de son quotidien

Avant d’intégrer Petits-fils et découvrir le métier d’auxiliaire de vie, Audrey exerçait en tant qu’aide-soignante. “J’aime bien les métiers du soin mais le rythme de travail pour le personnel soignant est très difficile” se confie-t-elle. La cadence de travail plus humaine est l’une des motivations qui l’a poussée à travailler à domicile chez ses particuliers employeurs avec Petits-fils. Aujourd’hui, Audrey s’épanouit dans son travail : “Je trouve que c’est varié : les courses, préparer des repas équilibrés, l’entretien de l’environnement… je m’y retrouve bien”. Et elle peut compter sur les retours bienveillants des bénéficiaires et de leurs familles pour la rebooster : “J’ai créé une relation de confiance avec un monsieur et il me dit souvent que je l’aide à vivre.” Au quotidien, Audrey accorde beaucoup d’importance à construire un espace de communication privilégié. En écoutant et rassurant ses bénéficiaires à chacun de ses passages, elle parvient à “trouver sa place”. “Je me sens bien chez les personnes chez qui je vais. Il y a un lien qui s’est créé avec eux et avec la famille” se livre-t-elle.

Le temps, un allié précieux

Avoir le temps se révèle être un élément fondamental qui distingue le quotidien d’Audrey de ses autres expériences professionnelles. “On nous donne le temps de faire ce qu’on a à faire, on peut être dans le prendre soin” nous explique-t-elle. Même si le métier d’auxiliaire de vie est “très prenant et qu’il y a beaucoup de travail”, elle apprécie le rythme à domicile instauré par Petits-fils. Cela permet de “faire un vrai travail d’accompagnement” et de favoriser l’autonomie des personnes âgées. Elle partage son quotidien avec une bénéficiaire fragile : “C’est une dame qui dort beaucoup donc quand j’arrive je peux prendre le temps de la réveiller, la toilette n’est pas brusque. Elle met énormément de temps à manger, je peux m’y adapter” Avoir le nombre d’heures suffisant pour accomplir chaque tâche est très précieux pour Audrey qui a envie de “donner le meilleur d’elle-même au quotidien”.